Le Premier ministre, Bruno Tshibala, a présenté, ce mardi 23 octobre 2018, le budget annuel pour lexercice 2019. Évalué à plus de 5, 923 milliards USD, ce budget est en équilibre en recettes et en dépenses. Le secteur des impôts apporte une grande contribution dans cette loi financière.
Pour Bruno Tshibala, le budget pour lexercice 2019 est évalué à 10 352 300 000 000 FC soit une régression de 0.01 % par rapport au 2018. Ceci est justifié, selon lui, par la baisse substantielle des recettes extérieures et celle des budgets annexes.
Le Premier ministre a parlé dune inflation moyen évaluée à 12,4 % et un taux d'inflation en fin période 11,2 %. Le taux de change moyen est fixé à 1747,8 FC le dollar et taux de change fin période 1790,3 FC.
Le projet de loi de finances exercice 2019 comporte un budget en équilibre en recettes et dépenses. les Recettes du budget général sont fixées à 9 604 900 millions FC contre 8 927 800 voté en 2018 soit un taux d'accroissement de 7,6 %. Les Recettes du budgets annexes sont à 169 700 millions Fc contre 917 200 millions Fc voté en 2018 soit une régression de 83,5 % et les recettes des comptes spéciaux 577 800 millions Fc contre 508 100 voté en 2018 soit un taux daccroissement de 13, 7 %, a indiqué Bruno Tshibala
Daprès les recettes courantes accusent un croisement de 25,6 % par rapport à leur niveau voté en 2018. il parle des recettes des douanes et accises à 2645 400 millions contre 2550 300 millions en 2018 soit au taux d'accroissement de 3,7 %, les recettes des impôts à 4030 400 millions FC 2700 900 en 2018 dégageant un taux daccroissement de 48,5 % et les recettes non fiscale encadrées par la DGRAD évaluées à 1207 600 millions FC contre 1079 300 millions FC en 2018 soit un taux daccroissement de 11,9 %.
Les recettes provenant des pétroliers producteurs sont en augmentation de 57 ,5 % soit 429 500 millions FC contre 272 700 millions FC voté en 2018.
Bruno Tshibala justifie cette augmentation par laccroissement de recettes découlant entre autre de laugmentation des cours des matières premières et de laccroissement de la production pétrolières qui passe de 22 000 à 30 000 barils par jour.
Willy Akonda Lomanga / Desk eco