Pour y parvenir, estiment ces spécialistes, le Gouvernement de la République démocratique du Congo et autres institutions du pays, devraient bien réfléchir pour résoudre le problème de la faim et de la malnutrition, doù la promotion de lagriculture durable.
Lon indique que leffectif des victimes de linsécurité alimentaire a augmenté en RDC. Il est donc passé de 7,7 millions de personnes en 2017 à 13,1 millions en 2018.
En République démocratique du Congo, la Direction de la préparation et du suivi du budget renseigne que les dépenses liées à la lutte contre la pauvreté nont été exécutées quà hauteur de 608,50 millions de dollars américains contre les prévisions linéaires de 1,022 milliards de dollars américains, soit un taux dexécution de 59,5 % à la fin juin 2019.
Appelées également dépenses pro-pauvres, celles-ci comprennent les charges communes, les contreparties des projets, les fonctionnements des institutions, des ministères, des interventions économiques, sociales, culturelles, et scientifiques, a-t-on appris de ces experts.
« Mais il est une réalité dont on ne peut sen passer. Le budget de la Rdc pour la gestion courante de ce pays à la taille dun continent, nest pas vraiment consistant pour assurer le mieux-être de la population. Il est donc temps pour les dirigeants congolais de penser à lamélioration, mieux, à revoir ce budget de lEtat à la hausse pour que tous les secteurs en action, poussent la Rdc vers les atteintes des Objectifs de développement durable (ODD) »,souligne-t-on.
Lepetit Baende