Le parti politique Agir pour le congo (AGPC), dement l'implication de la questeure du Sénat, Carole Agito, dans une entreprise criminelle de dépravation des mœurs. Dans un communiqué de presse publié ce samedi 22 juillet, cette formation politique précise que le chantage dont Carole Agito est victime tire sa source des harceleurs qui exigent de l'argent à la sénatrice sous prétexte de publier des vidéos compromettantes.
"La cellule de communication du parti AGIR POUR LE CONGO, AGPC en sigle, porte à la connaissance de l'opinion publique que sa présidente nationale, madame Carole AGITO AMELA n'est associée ni de près ni de loin à une quelconque entreprise criminelle de dépravation des mœurs. Aussi, tient-elle à préciser que voilà trois semaines déjà que Mme la Sénatrice Carole AGITO AMELA est, de façon intempestive, harcelée par des appels téléphoniques des inconnus agissant en association, se faisant passer pour des journalistes voulant lui soutirer de l'argent", rapporte le parti AGPC.
Et d'ajouter :
"En désespoir de cause, ces harceleurs anonymes menacent désormais de répandre sur la place publique des soi-disant vidéos compromettantes de la présidente du parti. Afin de contribuer au démantèlement de ce réseau du chantage éhonté et à la promotion de la dignité des femmes engagées politiquement, AGIR POUR LE CONGO annonce, d’ores et déjà, la saisine de la justice conformément aux articles 74, 75 et 150 du code pénal congolais Livre II et du code du numérique."
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