Avec un réseau navigable d’au moins 17 000 km, le bassin du Congo pourrait bénéficier d’un système de transport fluvial très compétitif. Mais il se heurte aujourd’hui non seulement à l’instabilité politique dans la sous-région, mais aussi à l’étiage sévère de ses affluents comme l’Oubangui et la Sangha.
Avec un réseau navigable d’au moins 17 000 km, le bassin du Congo pourrait bénéficier d’un système de transport fluvial très compétitif. Mais il se heurte aujourd’hui non seulement à l’instabilité politique dans la sous-région, mais aussi à l’étiage sévère de ses affluents comme l’Oubangui et la Sangha.
Face aux malversations entourant la gestion des fonds publics ou les ressources minières des pays africains les juridictions locales restent souvent assez frileuses. Les tribunaux internationaux demeurent donc le meilleur recours pour obtenir justice.
Face aux malversations entourant la gestion des fonds publics ou les ressources minières des pays africains les juridictions locales restent souvent assez frileuses. Les tribunaux internationaux demeurent donc le meilleur recours pour obtenir justice.
Une délégation des députés nationaux du Kongo central a été reçue ce jeudi 16 juillet 2021 à la Primature par le Premier Ministre, Jean-Michel Sama Lukonde. Ces élus étaient venus plaider auprès du patron de l'exécutif central pour que le Port de Boma soit le seul qui soit autorisé pour le déchargement des véhicules d’occasion importés.
Une délégation des députés nationaux du Kongo central a été reçue ce jeudi 16 juillet 2021 à la Primature par le Premier Ministre, Jean-Michel Sama Lukonde. Ces élus étaient venus plaider auprès du patron de l'exécutif central pour que le Port de Boma soit le seul qui soit autorisé pour le déchargement des véhicules d’occasion importés.
Le Groupe d’Etudes sur le Congo (GEC) a publié ce jeudi son rapport de sondage-Juillet 2021 axé sur la perception par les Congolais des changements et des avancées enregistrées ou non par le gouvernement depuis l’accession au pouvoir de Félix Tshisekedi.
- La pandémie de COVID-19 continue d'avoir un impact sévère sur la République Démocratique du Congo (RDC), un état fragile avec des crises sanitaires et sécuritaires récurrentes, une forte volatilité macroéconomique et des institutions faibles.
Il s’observe un accroissement des dépenses liées aux opérations militaires en République démocratique du Congo.
Les dépenses exécutées par tous les services généraux des administrations publiques sont évaluées à 1 417 087 600 622 de CDF (685,557 millions USD si on convertit au taux budgétaire moyen de 2067 FC le dollar américain) sur des prévisions linéaires estimées à 2 508 230 679 681 de CDF (1,213 milliard USD), soit