Le Comité Laïc de Coordination (CLC) considère que les trois scrutins du 30 décembre 2018 nont abouti « quà une opération de nominations électorales qui navait besoin ni de compilation des résultats partiels ni de présence dobservateurs et témoins ».
« Il sagit effectivement dun mode électoral dun type nouveau qui ne sest jamais produits depuis lindépendance, voie depuis 1957, lannée des premières consultations au Congo », disent les laïcs catholiques.
Ils ajoutent que ces résultats ne correspondent pas aux données de leur « observation citoyenne » et ne font pas lunanimité.
Ils demandent cependant aux différentes parties lésées de saisir la Cour Constitutionnelle à qui ils demandent de dire le bon droit.