Construite en 1930 sur la rivière Lufira avec une puissance de 71 mégawatts, elle va s'accroître à 78.3 mégawatts à la fin des travaux conduits par lentreprise Suisse Andritz, pour la partie mécanique et la société Cegelec, pour la partie électrique.
« Habituellement tous les dix ans, on fait le renouvellement des machines hydroélectrique mais ici lâge est très avancé puisque la première machine a été mise en service en 1930. Au lieu de faire une réhabilitation simple on a préféré faire un renouvellement, cest-à-dire toutes les parties mécaniques et électriques ont atteint un âge où si on continue à les réhabiliter ça va coûter très cher à lentreprise. Alors on démantèle carrément toute la machine à partir de la turbine jusquà lalternateur », a déclaré Christophe Tshilombo, chef de division des centrales de Mwadingusha et Koni.